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MAHAKARMAVIBHANGA
yad dharyate pravaradandam udararupaṁ
kodanḍadamaparimanditavastikosam chattram visälam amalam sasimandalabham chattrapradanajanitena jagaddharasya śricihnabhūtam manihemadandam paṭojjvalam kāñcanam ätapatram yad dharyate murdhni naradhipasya chattrapradanena jagaddharasya
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ime dasänusamsas chattrapradanasya.
LXV. katame dasänusamsa' ghantapradanasya. ucyate. abhirupo bhavati. susvaro bhavati. manojñabhāsi bhavati. kalavinkaratabhāsi bhavati. adeyavākyo bhavati nityam samprahāryajāto bhavati'. punaḥ punar anandam sabdam' śrņoti. svargeṣūpapadyate mahābhogas ca bhavati kşipram ca parinirvāti.
a) yatha Visakhaya Mrgaramātrā Bhagavan pṛṣṭah. katham mama prasāde nityam kālam' pañcāngikam turyam sadaiva vadet Bhagavān
tion avec chacun deux épouses qui se font pendant par couples, installés dans un pěndå på », d'autres personnages sont de part et d'autre accroupis plus bas, sur le sol. L'inscription porte MAHESAKHYASAMAVADHANA qui correspond au maheśūkhyashsamugama de Kv (cf sup. § LXIII, note l'emploi de mahesahhya ici confirme la supposition que, au panneau 125, le terme mahaujaska se réfère aux Bodhisattvas)
Le panneau 129 illustre la mention du cakravartin « un monarque universel est assis, une auréole autour de la tête; il a à côté de lui son « joyau de femme >> (striratna), aussi avec une auréole, des autres joyaux du cakravartin il a l'éléphant et le cheval à droite, et au-dessus d'eux le cintamani et le cakra, parmi les sujets qui l'entourent rien ne permet de distinguer le « joyau de ministre », le «< joyau de général » et le << joyau de père de famille » L'inscription porte CAKRAVARTTI.
Le panneau 130, avec l'inscription SVARGGA, est une représentation banale des joies du ciel, caractérisé par le kalpavrksa, les vases à joyaux, les Kinnaras, et aussi des Gandharvas, des Apsaras, des saints
1. A dasa gunah Cf fin du §.
2 Bom kalav bhavati.
3 B om nityam - bhavati.
4 B om sabdam
5 Bins kila
6. B om nityam hālam A écrit ici pañcarddhikam, mais rétablit plus loin pañcāngiham comme B B om vadet à la fin de la phrase T a la même liste que A; mais, en regard de samprahāryajāto, il porte rab tu dga' bar 'gyar ba x il est extrêmement content >> traduction qui suppose la lecture sampraharsa Il faut reconnaître que samprahārya est embarrassant; le verbe signifie surtout << combattre » mais l'idée première est << battre », prahara désigne « une veille, une durée de trois heures » (marquée par le battement (prahar") de la cloche ou du gong) J'ai traduit, dubitativement, le mot