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MAH KARMANIBHANGA
LXXI. katame "dasa guņāḥ pratiśrayapradānasya ucyate. rājā bhavati prādesikah rājā bhavati māndalikah rājā bhavati Jambudvipādhipatih rājā bhavati dvipadvayādhipatih rājā bhavati dvīpatrayādhipatih. rājā bhavati caturdvipādhipatis cakravarti. mahābhogas ca bhavati svargesūpapadyate'. ksipram ca parinirvātı
yathā o Sumedhāyā bhiksuņyā gāthā.
fin par kalya L'ensemble serait donc mahārāja, kalya « un grand roi prêt à.. >> D'après le traitement de l'image, nous pouvons imaginer quelque chose comme « prêt à partir en voyage » ou « prêt pour une visite » Et M Krom décrit ainsi le 150 « à droite une offrande à un couple de brahmanes, à gauche, un roi en palanquin, précédé par un cheval et un éléphant, et, chose bizarre, le cheval est plus grand quo l'éléphant >> Mais la nature du cadean fait aux brahmanes devient évidente dès qu'on a le teate, c'est man festement une paire de chaussures, plus précisément de socques en bois, telles qu'aujourd'hui cncore les brahmancs dans l'Inde entière los portenl pour circuler dans les lemples, elles consistent en une semelle de bois retenue au pred par un lacet et surloul par une cheville de bois finissant on champignon qui s'insèro entre lo gros orteil et le second doigt le nom sans rit en est pīdukū, le nom lundi est hharlău Au Japon, on les porte dans l'usage courant, ce sont les yeta que l'estampo a rendues famılères au public occidental Les images gréco-bouddhiques les représentent souvent, cf Foucher, Art grécu-bouddhiquo, II, P 182 ct fig 419 Le personnage en palanquin, l'éléphant, le cheval illustrent à la manière Javanaise les mots serhā, hasti, osva de Ky Sur l'inscription de droile je lis sans hésitation UPĀNAT , sur celle de gauche, en combinant Kern ct Krom VIHANIVAIKALYA équivalent nu vūnair avath alvam de Ky Le 151, inscrit SVARGA, est une fois de plus une scène de béalitude « un homme en grande toilette avec deux femmes pris d'un édifice qu est resté fruste, et à gauche le paradis avec un arbre, mais sans pots ni Kinnaras, los otros céleston, dont quelques-uns font de la musique, ont un aspect terrestre >>
1. B svarge copapo. 2 A add ca
Dans cette stanco, B hlen a kanahamunau, en b na ca nuese, cnc vaisālshyas et om. sa devant vrhūrain. C'est, aus variantes près, la stanco qm so lit en palı dans les Thorigāthās, v 518, section de Sumcdhā, la dernière du recueil
bhagavalt honāgamane samyhārāmamhı navanwesamhı
sahhiyo lini janıyo vihāradānam adāsımhū Le vers de Ky semble être uno āryā mutilée, le premier hémisticho devient régulier si on lit, en s'appuyant sur le pali et la lecture de B nave ca nwesane Le second hémistiche est plus embarrassant, il y manque 3 morcs Les masculins trayo el sa, qui semblent garantis par le mètre, sont surprenants Doit-on supposer un mot tel que janās qui aurait disparu . Le neutre tin du pali n'est pas moins étrange La formo lonāgamunt cst aussi tout à fait exceptionnelle , B lui a substiluó la formo normale hanakamuni , mais konīgamuni reparaît dans lo Lankāvatāra, p 29, 56 b Lo commentaire des Therigāthās désigne comme les trois amies Dhanañjānī, Khemā, ct Sumedhā. Le pali ct son commentaire ignorent le détail de l'histoire tel qu'il est rapportó 141