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________________ skurn'i gzugs-brian bii' ll de-dra'i yon-lan kun bstart-rus // 'diskud-gyis ni ishigs kyun smras // bu-mo byums-mu bdagis ni Il ses-rab sgo'i rgyun kuras il mam-par brgyan-pa 'di sesste Il chos-tshul 'di-la su spyod-pa' ll kun-nus bsgos-bui gzugs thobuste Il gzugs-kyi dkyil. 'khor de-rnamis tull chos-kyi ki yonis-sw 'du'll : vensuite la fille Byams-ma montra ... Sur chacune de ces bases Carambana. Cf. Gv. ekuikusmirid drumbanát, p. 97.31 il y avait des Tathāgata de la sphère de la Loi qui avaient produit pour la première fois la pensée de l'Eveil suprathamucillorpadán), qui (pratiquaient) la conduite (Gv, sucurya pranidhinuvisayan, p. 96.30), qui (montraient) le miracle de l'Eveil supreme /sábhisambodhivikurvitån), qui tournaient la roue de la Loi sudhurmucakrupravartanánet qui entraient dans le Nirvana complet [Gv. saparinirvanaduršanan, p. 96.31]. Il les montre tous à la manière de relles /pratibhasuyogena) comme les reflets du soleil (gris = ni), de la lune et des étoiles dans un lac limpide (cf. Gr. 97.1-2: radyathapi namu udukasurusi svucche ... gugunam cundradityam jyotirganupruri. munditun sanidrsyute pruribhdsuyogena). Après avoir montré de telles qualités, elle prononça encore les paroles suivantes: «Moi, fille Byams.ma, je sais le chapitre de la porte de la Prajnaparamita (prajna. páramitamukhuparivarta, p. 97.6) (nommé) Ornement universel (Sa. mantavyäha). Celui qui pratique cette doctrine obtient la dharani de la Porte universelle (Samantamukha, p. 97.12). Dans le cercle de cette dhdrant toutes les doctrines sont réunies (cf. Gr. 97.12-13: yatra dha. ranimandale dafadharmamukhasamkhyeyafatasahasrany dvartante ...). Dans la version tibétaine du Gv. parivarta est rendu par rgyud et Samantamukhả par kun-nas sgo alors que le texte de la Loi a rgyun et kwinias bsgos-ba. (11) M. Imaeda traduit: «Il pratiquait la marche pour faire naitre chez les étres la connaissance (ye-ces, jnana), et pour leur faire suivre le chemin du Tathagatu.» (p.50). Le texte tibétain lit: sems-san sna. ishogs 'khor.kyis (lacune d'un mot) // (lucune de deux mots) yeuses bskyed-pa'i phyir Il de-bżin gsegs.pa'i ishul dran-zin l 'gro-ba kun (lacune de quatre mots) // [lacune de cinq mots) par 'chags ll: «Pour faire naitre chez les groupes de différents étres la connaissance ..., en se remémorant la méthode des Tathagata, tous les êtres ... je me promene» (cf. Gv. 99.23-24: survasaltvajnándlokasamjananartham tathágutagatim anusmarantam sarvajagadarthacamkramabhirudham ... camkrumyamánam). Plus loin M. Imaeda traduit: «Moi, moine Bltana sdug-pa, j'ai pratiqué dans une vie (antérieure) la chasteté (chans pur spyod-pa, brahmucurya) auprès de Tathagata en nombre égal celui des grains de sable des trente-huit Gunga. J'ai écouté leurs ser mons, reçu leurs enseignements et explications. J'ai (ainsi réalise mes voeux d'autrefois. (Par conséquent) je suis entré dans l'état de la réalisation parfaite; j'ai appris tous les devoirs (du bodhisattva) et ai réalisé les six perfections (párumitd): j'ai su - vu) également la magie (rnam-pur 'phrul-pu, vikurvana) (du passage dans le nirvana du Buddha) et j'ai fait bien d'autres pratiques. (Maintenant quund je pratique «la marcher, à chaque instant de réflexion, je réalise toutes sortes de pratiques de bodhisattva (p.50). Le texte tibétain lit: dge. slon blia'-sdug bda-gis ni l 'gugu' sum-cu-rts-brgyud syi Il bye. bsried-gyi de-bzin gegs Il de-rani druri-du tshe cigogis Il tshuis.pur spyod-pa bda.gis spyad II de 'is gsuns.pa bdagògis thos Il bsam (? lire gdams?)-rag rje-substan.pa 'un blans Il sriun.gyi smon-lum yons. sbyurs Il yan-dag bsgribs (lire bsgrubs)-pa'i yul-la Zugs Il spyod-pu't dkyil-khor yonis-su sbyans Il pha-rol phyin pa rdzogs.pur byus Ilmumi. par 'phrul-pa'un ses par byus Il gżan-yun spyod mtha'yus te ll 'chagssa 'di-nu chugs-pa'i ishe Il sems-bskyed skad-cig re-re yun Il byah.chub spyod-pa mon-lu 'gyur il: «Moi, moine Blta'-sdug, j'ai pratiqué dans une seule vie (ekujanmand, p. 100.9) la conduite religieuse auprès de Tathagata aussi nombreux que le sable de trente-huit Ganges. J'ai écouté leurs paroles, j'ai reçu leur instruction et leur enseignement (avavadanusasani sampraticchirà, p. 100.16), j'ai purifié mes voeux antérieurs (cf. Gr. pranidhanavyuhah parisodhirdh p. 100.16), je suis entré dans le domaine de l'achèvement (samudagamavisayavarima j'ai purifié le cercle de la conduite (curyamandalar parisodhitam), j'ai achevé complètement les paramita (Gv. 100.17: páramidsdgurah puripúritah), et j'ai aussi appris le miracle (de l'Eveil supreme) (abhisani. bodhivikurvitni ajratani). Du reste, mes pratiques sont infinies. Quand je me promene sur ce promenoir, à chaque production de pensée (ekacittorpådena, p. 100.31), la pratique du bodhisattva) se manifeste (cf. Gv. p. 100.31: unabhilapyánabhildpyabodhisutvucurydsamudrd abhimukhd dvartante ...]. Sudarsana est encore jeune et est récemment entré dans la vie religieuse (Gy. 100.9: ahanı kuluputra daharo jdryd, navakas tu pravajyaya]. Néanmoins, il a pu vénérer dans sa seule vie présente d'innombrables Tathagata. (13) M. Imaeda traduit: «Moi, Rin-chen man-ba, j'ai trouvé le tré. sor inépuisable orné des mérites (bsod-nams, punya) du bodhisattva ... Je satisfais tous les êtres par le parfum sans égal (?) et je purifie la
SR No.269530
Book TitleLe Gandavyuha Et La Loi De La Naissance Et De La Mort
Original Sutra AuthorN/A
AuthorJ W De Jong
PublisherJ W De Jong
Publication Year
Total Pages10
LanguageEnglish
ClassificationArticle
File Size2 MB
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