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MAILAKARMAVIBHANGA
grhasthapravrajitānām bālavṛddhānām. stūpānganacaityagṛhavihārānam ca bhumer avisodhanam stūpānām pratimanam ca dipavyucchedah. durvarṇānāṁ sattvānām avahasanam. tathacaukṣasamudācāratā idam karma durvarnasamvartaniyam.
VI. katamal karma prasadikasamvartaniyam. ucyale akrodhah. anupanahah amraksah' vastrapradānam stupacaityagrheṣu ca sudhadanam suvarnapātra dānam. gandhalepapradanam alamkārapradānam. mātāpitror varnavāditā aryānām silavatām varnavādītā stüpängaṇaviharānām sammārjanam satatam grhasammārjanam virūpāṇām sattvānām anavahasanam tathānyesām bālavṛddhānām tatha cauksasamudācāratā
a) 'yatha aryaSundaranandena kila Krakucchande samyaksambuddhe bhiksusamghe jentakasnanam krtam. tamś ca drstva cittam prasaditam bhūyaś ca suvarnena haritalena pratyekabuddhastupe lepo dattah idam api drstva cittam prasaditam. abhirupatayam ca parinämitam. bhūyaś ca stupe kriyamane prathamam chattram käritam yatha pascimabhave sa eva vyakaroti.
jentakasya ca snanena haritalasya lepanena ca ekacchattrapradanac ca prapta me suvarnavarnatā".
tathaivāyam sobhitavan. idam karma prasadikasamvartanıyam
anuvahasanum (tandis que le § V porte: durvarṇānām sattvānām avahasanam) Et de fait le panneau 21 représente bien des gens laids ot difformes qui sont tournés en dérision IT insère mi chig pa apradasah omis par A
2 A pattra mais T a snod spvad
pātru
3 Tom. tout ce paragraphe jusqu'au début de VII
4. Ce vors est tiré d'une collection fort curieuse et peu étudiée jusqu'ici (Chavannes et moi nous avons négligé de l'utiliser dans notre travail sur les Seize Arhals protecteurs de la Loi, Journ. As. 1916, II, à propos de Pindola Bharadvaja), le « Sutra où les Cinq Cents Disciples du Bouddha racontent chacun son propre avadina # TÉ, NJ 729, Tok XIV, 6, 13, traduit par Tchou Fa hou
(F) on 303 A D, et de plus incorporé dans le Vinaya des Mila Sarvästivädins, section des Remèdes, Tok XVII, 4, 73a (= Dulva II, 508 sqq.) traduit par Yi tsing (Y). Nanda (Nant' F) raconte qu'au temps du Bouddha Vipasyın il avait donné au sargha une << maison de bains chauds >>F; « des bains d'eau chaude parfumée » V) en prononçant le vœu pour lui-même et pour la Communauté d'être toujours purs et propres, sans souillures ni écoulements, d'une tenue irréprochable, avec un teint de lotus Ensuite il naquit chez les dieux, puis chez les hommes, et loujours sa beauté était merveilleuse Et dans la suite voyant le stupa d'un Bouddha-pour-soi, il l'a réparé (F, reblanchi Y) et l'a revêtu d'un enduit parfumé et il l'a recouvert encore